
dimanche, juin 24, 2012
vendredi, mai 25, 2012
dimanche, mai 20, 2012
Beuaaaaaaaaaaaaaaaargh
J'ai voulu écrire tout à l'heure, je suis fatiguée et la rédaction plus ou moins vomi dans l’instantané, me fait un bien fou. On est dimanche, dehors il pleut et je sèche d'ennuie sur pied. Dans ma caboche c’est le grand défilé… les souvenirs, les joies, les chagrins, les angoisses s’affrontent et me fichent à sacré mal de tête. Alors j’essaie d’apaiser ce bordel avec des mots. En fait le soulagement était moindre mais je me suis contenté du peu.
Parfois, très souvent, toujours, le matin lorsque j’ouvre
les yeux pour mieux sortir des dernières illusions nocturnes et reprendre au
fur et à mesure conscience à la vue du soleil qui massacre mes pupilles, j’ai
ce gros nœud désagréable dans mon ventre. Un truc dégueulasse qui rend malade
et donne envie de gerber. Comme si redevenir lucide à ce moment là était à
chaque fois un passage plus douloureux et inévitable, une étape obligatoire
avant d’entrée dans l’enfer de la routine quotidienne une énième et incessante
fois. En soit, un sacré bordel symphonique dans mes viscères… Le dégoût à son
paroxysme. Alors, c’est à cet instant
précis et renouvelé tous les matins (pas un de moins) que je me dis de cette
(nouvelle ?) journée qu’elle sera le reflet d’une existence écorchée et
infernale et que ces salopards qui m’ont (donné la vie) auront raison de moi
le jour où je deviendrai le vulgaire pantin qu’ils ont toujours désiré,
leur clone.
jeudi, mai 17, 2012
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